Rencontre à la librairie de l'écureuil
L'entrée est libre. J'ai le plaisir de vous accueillir à nouveau pour discuter littérature.
Comme à chaque fois vous pouvez venir pour écouter ou pour présenter un livre qui vous aura marqué.
Il parle d'Histoire et de patrimoine au travers, bien entendu, de livres. L'Histoire peut alors s'écrire ou non avec une majuscule mais, quoi qu'il en soit, elle fait toujours partie de notre patrimoine. Ce dernier peut être local ou plus lointain
Attendez vous à ce que celle-ci soit assez large pour nourrir nos échanges mais trois exemples en illustrent l'affiche :
Le Thuya du Carmel est un roman historique de Dominique Boumier. L'action se déroule à Angers et l'auteur vit à La Pouëze.
Le livre de Gérard Barbin nous replonge dans un passé pas très lointain ; la mine était encore en activité.
Quant à la série des vélocipédiques des éditions des artisans-voyageurs, elle nous conduit un peu plus loin, au siècle dernier.
Et oui, je n'oublie pas d'offrir le café, ou un thé si vous préférez
lors de cette rencontre
La prise de la Bastille est souvent décrite par les notables, du point de vue de ceux qui n’y étaient pas. «14 Juillet» raconte l’histoire de ceux qui y étaient. Un livre ardent et épiphanique, où notre fête nationale retrouve grandeur et tumulte.
Ces deux livres "Gérard Barbin, mineur aux ardoisières de La Pouëze" et "Paroles d'Ardoisiers-mineurs", évoquent le souvenir des ardoisières. La mine, les mineurs et leurs familles, un patrimoine de valeur.
Juin 1940. La Wermacht déferle. En France, c'est la débâcle. À Saumur, les élèves de l’école de cavalerie font le choix de désobéir à Pétain. Eux ne fuiront pas. Ils défendront la ville ! Les Allemands ne s’y attendent pas...
La boule de fort, est une tradition culturelle, sociale et humaine. Émile Joulain, dit "L’Gâs Mile", est un vrai "Gâs" de l’Anjou, plus précisément de Mazé. C’est un vrai rural, un paysan, et c’est aussi le ”prince des poètes angevins" qui, a su transmettre l’amour de nos traditions.
Automne 1804. Au carmel d’Angers, le commandant Berthaule recueille et enregistre les enfants abandonnés. Un soir, il trouve un replet nourrisson sans autre bagage qu’un papier portant son prénom, Pierre-Joseph…
La jeunesse de Rémy Belet, de 1939 à la fin des années 50, dans le village de Vern d'Anjou. Au programme : présentation du village, l’école, les habitants, les balades en campagne, tout l'environnement qu'il a eu en grandissant en somme.
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